Devenir bénévole et s’engager – Aux captifs, la libération

Rejoindre l’association Aux captifs, la libération, c’est aller à la rencontre des personnes en situation de prostitution et de précarité à Paris pour tisser avec elles une relation. A partir de cette relation peut être proposé un accompagnement global réalisé par les bénévoles et les salariés. L’efficacité des dispositifs sociaux reposant d’abord sur la capacité des intervenants à rejoindre l’autre dans sa souffrance profonde et à l’accompagner vers un chemin de réconciliation, cette relation est déterminante.

L’apport des bénévoles dans l’association

Si l’association a souhaité peu à peu faire appel à des compétences professionnelles en travail social pour proposer un accompagnement plus complet, le rôle des bénévoles est essentiel pour les personnes rencontrées et pour notre association : leur présence et leur témoignage nous rappellent sans cesse cette priorité de la gratuité de la relation sur la prestation.

Les bénévoles aux Captifs participent activement à la vie de l’association et sont présents à tous les niveaux de décision (de l’antenne au conseil d’administration).

Nous avons besoin de vous !

Pourquoi faire du bénévolat aux Captifs ? Pour vivre une rencontre porteuse d’espérance.

Devenir bénévole chez nous, c’est aller vers les personnes dans la rue ou les accueillir dans nos antennes; c’est faire un chemin avec elle, les accompagner. Nous recherchons également des personnes qui souhaitent partager des talents particuliers avec elles (bricolage, informatique, jardinage, peinture, chant, partage d’évangile…) ou mettre leurs compétences au service de l’association (collecte de fonds, photos, juriste, comptabilité, recrutement…).

Nous recherchons aussi des personnes qui souhaitent vivre avec des personnes ayant connu un parcours de rue. Il s’agit là d’une forme de « colocation solidaire » où la rencontre se vit dans le partage du quotidien.

Un parcours de formations est proposé pour débuter et continue tout au long de votre engagement bénévole.

« J’apprends à « être ». Ce matin, à partir d’un simple regard accompagné d’un sourire, je suis entrée en relation avec une dame que je rencontrais pour la première fois. J’ai réussi à être et cela a permis de créer un lien. » Une bénévole